La petite maison est très différente de celle où elle a passé une si grande partie de son enfance. Il n’y a pas de roses, pas de cabane de jeu, pas de fauteuil de jardin à l’ombre d’un pin. Il n’y a pas non plus la mer, ni de plage avec des coquillages et des algues apportées par les vagues, ni d’enclos dans lequel un cheval brun puisse paître. La maison de Thérèse est située légèrement à l’intérieur d’un bois de sapins. Dans le jardin ne pousse rien d’autre que de la menthe et de la ciboulette. Et les meubles de jardin blancs dont elle a fait l’acquisition en même temps que de la maison sont maintenant pourris. Lire la suite →