Il ne passe pas de jour où je n’aie envie d’écrire à Jacques ou de lui téléphoner. Mais je le sais très occupé, englouti dans le courrier, ou acculé au répondeur. Jacques est donc le destinataire à la fois le plus naturel et le plus malaisé que je connaisse. En outre, je sens que même si ma lettre ou mon message arrivait, il me resterait mille choses encore à lui écrire ou à lui dire… Lire la suite