Trop de novembre

Il y a trop de lumière pour pouvoir chanter un monde,

une voyelle des mondes nus.

Il y a trop de novembre et je vais écrire et boire un café.

Il n’y a que les lames de la feuille, verticales

et une lourde phrase et un lever.

Le nadir grince sur la vitre et il fait froid

et beaucoup de choses n’arrivent, ni les formes

ne retrouvent leur rythme intérieur, cohérent. Lire la suite