Franchement, il ne comprend pas ce foin que l’on fait à propos du confinement imposé pour empêcher la propagation du virus. Voilà plusieurs jours qu’il n’allume plus la télé tellement l’exaspèrent toutes ces consignes ressassées, ces témoignages pitoyables, ces encouragements grotesques. Il ne met dorénavant plus que de la musique classique à la radio. Transporté par Bach, il s’arrête un instant de découper les poireaux et jette un coup d’œil par la fenêtre de la cuisine. Lire la suite