Ouiquenne
Ouiquenne ! Ouiquenne, comme l’écrivait Queneau,
le ouiquenne, aussi loin qu’il m’en souvienne,
c’était quand il faisait beau
et qu’on allait jouer le long des berges
de la puante Orneau, et les nonquennes,
c’était quand il pleuvait à seaux,
des pluies diluviennes qui nous faisaient dire amen
à nos baleines et autres projos de bateaux ! Lire la suite →