Mon cher Jacques,

 

Quand je t’ai rencontré, la toute première fois (il y a de cela, quoi ? treize ou quatorze ans ?) tu avais alerté une bonne partie de Montréal pour m’atteindre. Tu m’as ensuite expliqué qu’un bon journaliste trouve toujours ce ou qui il cherche. Et tu es un bon journaliste. Tu as toujours réussi à me trouver et aussi à me surprendre. Lire la suite


Je sais : quand quelqu’un meurt, il se trouve toujours une armée de personnes pour se prétendre son ami. Cette armée qui n’était pas toujours fidèle et sûrement pas toujours disponible pour défendre l’ami disparu, du temps où il vivait et traversait les aspérités du chemin. Lire la suite