Beau comme la rencontre de Mozart et de Rembrandt sur une table de dissection, le regard de Joachim Pressler semble avoir jusqu’à présent échappé au commentaire. Le génial inventeur de l’orthographe pincée (imité par les zélateurs de l’écriture poinçonnée) a sans doute dû son anonymat quasi-total à l’obscurité de sa naissance, à celle de sa vie tout entière et à une mort parfaitement conforme à celle-ci puisque, semblable à de nombreux contemporains, il passa de vie à trépas sans insister. Lire la suite