Un peu par routine et surtout par aveuglement, incapable qu’il était de réaliser l’ampleur de la déglingue dans laquelle se trouvait le pays, Raymond Van den Branden avait cru bon de prendre l’E40 pour relier Liège – sa base logistique du moment – à Bruxelles où l’attendait une réunion de travail déterminante, selon toute vraisemblance. Lire la suite