Je suis entrée en guerre et en littérature dans la même nanoseconde.

J’ai toujours trouvé que Marie-Paule avait un bête prénom mais comme c’était mon amie, je ne lui en avais jamais rien dit. Qu’elle était moche avec ses yeux strabiques, ça non plus, je ne lui en avais jamais rien dit.

Mais, même bigle, Marie-Paule était une supra-fortiche en chorégraphie. Je n’ai jamais compris comment ses yeux, dardant des regards asymétriques, étaient capables de la localiser spatialement de manière aussi précise et toujours d’équerre.

Aussi, je respectais beaucoup Marie-Paule. Lire la suite