S’agit-il de valeurs ? De bonté ? Ou simplement de la nécessité d’accueillir ceux qui perdent leur patrie ? Le devoir peut être simple et quotidien, mais souvent très difficile. Son contraire absolu est la haine, je l’ai écrit et mon texte vient d’être traduit en roumain : Ura est o boala, la haine est une maladie.
En ce moment, il s’agit pour l’Europe de faire face aux nouveaux venus qui bouleverseront complètement notre équilibre déjà bancal. Mais… : Nouveau Venu, tu es mon frère et tu es ma sœur, mon père, ma mère et mon petit qui deviendra grand. Que faire d’autre que de t’accueillir ? N’avons-nous pas déjà suffisamment d’ennemis sur terre ? Ce sera difficile pour nous et les sauveteurs sont rarement aimés. Lire la suite