Claude Bourgeyx

Claude Bourgeyx commence des études techniques, puis s’oriente vers l’écriture. En 1968, il rédige de brefs monologues théâtraux qu’il interprète sur la scène du café-théâtre L’onyx (Bordeaux). Jusqu’en 1984, il pratique différents travaux alimentaires, enseigne à l’Université de Bordeaux, avant de se consacrer entièrement à son métier d’écrivain.

Son écriture est proche de celle de Lewis Caroll ou de Topor, mélange de non sense britannique et d’humour noir. Il embrasse tant la littérature que la littérature pour la jeunesse, et mélange les genres théâtraux, dialogues, romans, nouvelles.

À partir de 2009, il montre au public son œuvre de plasticien et de peintre. Ainsi, en 2016, il expose (Atelier 109, Bordeaux) une œuvre inspirée par Marguerite Duras où il donne « corps à des couples imaginaires, avec pour ambition que l’on s’interroge sur la raison, triviale ou vertigineuse, qui les a réunis ».

En 1991, il obtient le Grand prix Jeunesse de la Société des gens de lettres. Ses œuvres sont interprétées régulièrement, tant par des têtes d’affiche (Claude Piéplu, Bernadette Laffont, Anémone, Virginie Lemoine) que par de petites troupes.

Son fils, Vincent Bourgeyx, est pianiste de jazz international.

Notice de 2001

Articles publiés dans Marginales :

Partager