Pour moi, le Monde est d’abord un journal, que j’achète chaque jour, et qui m’apprend chaque jour quelque chose de nouveau.
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Chacun sait que la Terre (le monde) tourne autour du Soleil. Ce qu’on sait moins, c’est que le Soleil se déplace aussi, et que la Terre tourne en spirale autour de lui. C’est dire aussi que le ciel se présente d’une tout autre manière que du temps des Chaldéens ; rendant caduc l’astrologie, et rendant du même coup les horoscopes totalement faux, rejoignant les galimatias et autres bagatelles et billevesées.
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Bernard le Rovier de Fontenelle, auteur des Entretiens sur la pluralité des mondes, disait : « Je me suis mis dans la tête que chaque étoile pourrait être un monde. Je ne jurerais pourtant pas que cela fût vrai, mais je le tiens pour vrai, parce qu’il me fait plaisir à croire. » C’est un cas unique d’un astronome sans télescope. À noter qu’il vécut cent ans, ce qui est rare au XVIIe siècle.
« Que de monde ce soir, dit l’hôtesse. À croire que le tiers-monde s’est donné rendez-vous chez moi. » « Vous oubliez le quart-monde. », rectifia son mari. « De toute façon, il n’y a pas lieu d’en faire tout un monde. »
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Les longitudes et les latitudes forment une sorte de filet, bien utile pour changer le monde de place.
Je me souviens qu’il y avait une Revue des deux mondes, mais lequel était le deuxième ? Ils sont sans doute interchangeables, ce qui arrange tout le monde.