Je parlerai du critique.

Alors que l’on devrait admettre, une fois pour toutes, que c’est la critique qui est malaisée cependant que l’art, en ces temps un peu fluides, est décidément la chose la plus facile qui soit, il reste de bon ton de dénigrer ce qui devrait être considéré comme un apostolat. Jacques le pratique à ravir.

Il m’est arrivé, je le confesse, de lui trouver parfois une assez forte propension à l’indulgence. D’autant que cette tendance naturelle n’était de sa part ni détachement, ni dédain, ce qui aurait pu, en ces temps un peu âpres, la rendre acceptable. Lire la suite


J’ai « fait » six Tours de France. Très précisément ceux millésimés de 1960 à 1965, c’est-à-dire un temps que les moins de soixante ans ne peuvent pas connaître. Ou si peu.

Lors de « mes » Tours de France tout le monde pédalait et à la fin c’était Anquetil qui gagnait. En tout cas, dans cette séquence, il en gagna quatre sur six. C’était un peu monotone, j’en conviens.

Heureusement il y avait Poulidor. Lire la suite


Dans ma bibliothèque, elle fait cent quinze centimètres de large, vingt et un centimètres de haut et quinze de profondeur. Mon édition est celle du Club Français du Livre : les « Œuvres complètes. Édition chronologique de 1802 à 1885 (1967), composée par Fortin et fils imprimeurs à Paris et imprimée à l’Instituto d’Arte Grafiche de Bergame ». J’avais souscrit sans barguigner puisque dans cette édition numérotée, tirée à 35 000, j’ai le 04085. Pas mal. Lire la suite