Cette fois, c’est clair : depuis que la papamobile-Fiat (Italie) de Jean-Paul II (Pologne) a fait manger à la Mercedes (Allemagne) de Diana, Lady die (Angleterre), le pont de l’Alma (France) où l’on sait tout ce que le zouave (Arabo-Berbère) laissait faire à la main de ma (bonne) sœur (Belgique) ; depuis que Monica, à la montée du Golgotha médiatique de Clinton (U.S.A.), a donné au monde un nouveau Saint Suaire (Israël), faisant du même coup chuter les bourses de la Russie, de l’Amérique du Sud et de l’Asie ; depuis que le cigare (Cuba) a repris du poil de la bête (Davidoff en Suisse) sur le marché des fumées, on assiste à une tentative de déstabilisation du monde derrière les écrans (Irak) d’un brouillard qui nous empêche de voir s’emboîter les poupées russes des génocides, des famines, des massacres et du sida, et ce de la Yougoslavie à l’Afrique, du Tibet à l’Afghanistan, et ailleurs… depuis tout cela, c’est clair : Rastapopoulos est de retour et, bien sûr, nous n’y sommes pour rien si les nouveaux « Cigares du Pharaon » font un tabac chez ceux qui n’éprouvent jamais le besoin, entre fromage et/ou dessert, café et/ou pousse-café, de vomir, comme le faisaient les Romains, avant de repasser à table.

P.S. Je vous parlerai une autre fois, pour les fêtes, des tapis et des coussins volants, auxquels on croit encore lorsqu’on a vingt ans, et des contes de fées dans la tête.

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