J’aurais pu vous connaître. De là dans ma vie ce parfum de mélancolie – amertume du buis et du cyprès et de leurs feuilles épanouies dans le cimetière de mon enfance. Marilyn : je dis Marilyn, et m’embrume cette angoisse que seule suscite l’aube : encore un jour à vivre, et sa peine d’être. Alors il m’arrive d’écrire, tristement, des choses comme celle-ci :
Le 37e jour de la semaine (nous étions en septembre), comme il avait perdu sa calculette d’ambre, Lire la suite