Monsieur de La Fontaine,
Je suis fille trop finaude et modeste à la fois pour prétendre vous parodier. Et ma réponse sera moins légère que ne l’était mon pas quand, réjouie à l’idée de combler mon glouton de mari, je sautai sur la route avec le résultat dont vous avez tiré une bien sévère morale. Mais votre style plus intarissable que le lait de mon pot et votre bonhomie m’autorisent à me confier, et ainsi rectifier votre fable. Ajoutant encore, à votre « adieu » fameux, un nouveau drame qui peut-être mériterait la plus rigoureuse de vos moralités. Lire la suite