Trop de raisons de sentir monter aux lèvres des signifiants de colère — ah ! les saintes colères ! — de réagir et d’agir par les temps qui mutent en presque toutes choses : où que l’on se tourne, où que l’on arrête son regard, crises et crisettes, petites apocalypses ou petites renaissances, fin d’une ère ou éclosion saignante d’une nouvelle humanité ou inhumanité, qui sait ?
Personne ne sait vraiment, surtout pas les présumées élites, mais ça se passe : ça navigue, ça surfe, ça trimarde à vue sur fond de syndrome Titanic, de prolifération numérique et virtuelles, de technologies de science-fiction et de croyances moyenâgeuses, de fractures sociales et de factures financières, de guerres larvées et de terrorisme à répétition… Lire la suite