Avertissement : Oui, je sais, les puristes reprocheront au chroniqueur du jeune règne de l’illustre Adolphe-Bénito quelques majuscules intempestives. Que l’on ne s’y trompe pas cependant : elles sont volontaires, en dépit des règles d’une grammaire désuète. Car rien n’est trop grand ni trop beau pour célébrer la gloire Wallonne (et ceci est un premier exemple de la nouvelle orthographe que le chroniqueur se propose de faire reconnaître par l’Académie Royale de langue et de littérature Wallonne nouvellement sise en la bonne ville d’Eghezee, promue au rang de capitale du nouvel État).